GANG DE GIRL

    Marco sociopathe mangeur de tortue ennemi public n° 1

                                                       Part 4

La police inspectait le lieu de l'agression. Marco s'était cassé un bras lors de

l'affrontement avec Cake, ce dernier était resté intact a peu de chose prés. Pendant que les policiers inspectaient la maison de fond en comble Pour calmer les esprits Mme Papaye avait décidé d'emmener sa joyeuse compagnie à la plage. Stealth Elf effrayée détaillait le déroulement de la soirée aux policiers, son teint verdâtre de Stealth Elf virait au violet, elle était encore sous le choc.

«C'est scandaleux, c'est de l'acharnement, pauvre de moi, ce psychopathe finira par m'avoir se lamenta Mme Papaye

-Ne t'en fait pas maman et si on …

-Je ne veux rien entendre, je suis trop remontée,s'exclama Mme Papaye.

-Si on a plus le droit de s'exprimer ici ..., je vais chercher les garçons soupira Pénélope exaspérée par sa mère. »

Les adultes se rassemblèrent dans la voiture conduite par Mme Papaye.

«Tu sais ce que tu as à faire Patrice alors fissa !! déclara Mme Papaye avant de démarrer sur les chapeaux de roues.»

Quant aux enfants, ils allaient voyager dans un mini bus conduit par … le paresseux !!!! Patrice le paresseux avait un permis de conduire !! Il y a quelques années de cela Patrice l'avait acquis pour pouvoir conduire Mme Papaye lorsqu'elle était blessée.

« Il sait conduire ,s'étonna David, vous êtes sur que c'est une bonne idée d'avoir un paresseux comme chauffeur, il risquerait de s'endormir ?

-Et bien on lui hurle dessus et il se réveille répondit bêtement Martin.

-Je vous jure que si je meure a cause d'un primate primitif ma mère fera un scandale prévint David

-Don't worry, be happy entonna Patrice.

-Oh mon dieu !!! »

Gautier, Carlo et David restèrent bouche bée.

« N'en faites pas des caisses ,rajouta Pénélope, votre écureuil, Cake, il sais aussi parler. »

Sans rien dire ils s'attachèrent et partirent. Patrice mit la clé de contact et démarra dans un « brouhaha bruyant ». Gautier tremblotait de peur, il allait craquer. Patrice s'engagea brutalement dans la rue Jean Jaures. C'était la goutte de pipi qui faisait déborder la vessie. Gautier craqua. Il venait de s'uriner dessus. Ce garçon avait définitivement un vrai problème avec sa vessie (voir Entrée au collège). Pénélope ,voisine de siège de Gautier ,était scandalisée et un peu humide.

-C'est pas vrai !!!! Oh mon dieu, votre ami viens de me pisser dessus ,hurla Pénélope en désignant sa robe, c'est une Chanel.

-Je suis tellement désolé s'excusa Gautier.

-Tais toi sale incontinent, pour la robe on en reparlera et sache que tu vas le payer cher, dans les deux sens.

Le voyage fut une incessante succession de cris, de pleurs, de bastonnades, d'engueulades, de règlements de compte...

Une fois arrivé sur place …

Gautier et Pénélope se nettoyaient à l'eau de mer tandis que les adultes préparaient l'apéro. Martin chattait sur son smartphone et Carlo et David couraient comme des fous sur la plage. Les adultes étaient assis à l'écart des enfants. Il parlaient de tout de rien mais personne n'osaient évoqué Marco mais Papaye décida de s'y mettre.

«Pourquoi Marco s'en prend t il à moi, je n'ai rien fait, il aurait très bien pu s'en prendre à mes deux collègues présent pendant l'agression.

-Mme Marco est juste un psychopathe il n'y a rien à chercher ne vous tracassez pas la tête, ne cherchez pas à comprendre la rassura Cynder.

-Pauvre ignare, c'est pour la vie de mes enfants que je suis inquiète, pardi ,s'écria Mme Papaye alors qu'elle étendait la nappe.»

Vexé Cynder se tut. Le petit groupe fut rassemblé autour de brochettes de fromage, de crudité et de viande avec une vue imparable sur la mer Brestoise. Mme Papaye fixait l'aquarium Brestois. Tiens, qu'il serait sympathique d'y aller avec ses charmants invités.

« J'ai une petite idée que diriez vous d'une petite visite d'Océanopolis, le parc aquatique le plus grand de la région.

-Et Marco, j'imagine qu'il y a des tortues tenta Cynder.

-Pauvre saute, je suis sure qu'il s'est déjà fait coffrer.

-C'est par précaution que je dis ça.

-On nous aurait appelé depuis longtemps, je crois que vous régresser un peu.

A suivre ...